Le quotidien - à la maison - est très difficile. Notre fils n'accepte pas sa maladie. Il a toujours des délires, persistants, même s'il reste calme, probablement grâce à son traitement. Il nous fait néanmoins beaucoup de reproches. Pour lui, nous sommes responsables de sa « réalité ». Surtout, il nous en veut considérablement de ses hospitalisations, puisqu'il n'est pas malade, pense-t-il. Ces reproches sont terribles.